La première version du duo étoiles ineffable Charles Boyer et Irene
Dunne - Veuve Clicquot ! La deuxième version , non pas comme la lumière,
peut-être un sauternes , a Cary Grant et Deborah Kerr. De toute fa?on ,
Leo McCarey dirigé deux - ont mouchoirs prêt pour la scène finale.LOVE
STORY1970Le scénario de Erich Segal est venu en premier , puis Paramount
Pictures lui a demandé d' écrire le roman , publié en avant-première du
film , dont la première 10 mois plus tard . Alors qu'il était en studio
synergie plus le réglage de l'Ivy League : Harvard , comme Ryan O'Neal,
et Radcliffe, Ali MacGraw . Love Story a une ligne d'ouverture célèbre
émoussé, " Que pouvez-vous dire au sujet d'une fille de 25 ans qui est
mort? " Et un non moins célèbre , si douteuse , dernière ligne , "
l'amour signifie ne jamais avoir à dire qu'on est désolé . " c'est un
savon, pas de question, et malgré le titre il n'ya pas beaucoup
l'histoire. Brains Heures supplémentaires dédaignaient le film. pliage sac longchamp
Néanmoins, il était énorme . Le badinage entre O'Neal et MacGraw est
une nouvelle mise à jour sur les riches -boy- loves- pauvre -girl
formule classique , ce qui porte le mot ? preppy ? dans la culture au
sens large. Et la mort de Jenny Ali MacGraw a donné beaucoup de gens un
bon cri cathartique.At- directeur leur mise en scène avec un tel mélange
consommé de l'intensité , la délicatesse et la langueur ? Dans les
films d' Alfred Hitchcock , le monde cesse d'exister en dehors d'un
baiser. Dans ce chef-d'?uvre , Alicia Huberman d'Ingrid Bergman, la
fille d'un espion nazi reconnu coupable, tente d'échapper à elle-même et
le monde à travers la vie rapide. Quand elle tombe en amour avec TR
Devlin de Cary Grant, un agent du gouvernement , elle devient un espion
américain à être près de lui , pour lui s'il vous pla?t , et à
elle-même, et le punir . Hitchcock lacets cette histoire d'amour avec le
poison : intonations de l'auto- effacement, le sacrifice de soi se
glisser dans le sadomasochisme . longchamp pas cher
Quant à la photographie en noir et blanc lumineux : un millier de
nuances de gris.Now, Voyager1942C'était le film préféré de la créatrice
de mode la plus inventive de l'Amérique, Geoffrey Beene . Il aimait la
transformation de Bette Davis à partir d'un très démodée ( lire :
traumatisée ) 30 -ish casanier à la femme glamour du monde , elle
devient une fois qu'elle s'éloigne de sa mère ame d'écrasement . Il
arrive sur une croisière , son premier voyage sur son propre , et un
medley de style de chapeaux et gants , capes et les voiles , signale sa
métamorphose palpitante . L'un des catalyseurs de ce changement est un
homme qu'elle rencontre à bord, la profondeur décent encore mal mariée
Paul Henreid . Ils deviennent amants , mais la relation physique doivent
cesser quand elles renvoient toutes les deux à responsabilités à la
maison . Leur amour, cependant, passe par sa propre métamorphose , de
toucher le sublime dans la sublimation , un miroitement capturé dans la
dernière ligne inoubliable , " Ne laissez pas de demander la lune . longchamps pliage
Nous avons les étoiles . "UN Officier et Gentleman1982Il n'allait pas
finir happily ever after . Directeur Taylor Hackford et star Richard
Gere abord pensé un tel dénouement serait trahir les cols bleus , la
dynamique de la classe ouvrière de cette histoire débraillé . Tout le
monde ici est d'essayer de se lever à l' échelon suivant : les jeunes
hommes enr?lés dans l'aviation candidat officier de l'école de la marine
américaine , ainsi que les jeunes femmes dans les usines locales , qui
fixent les futurs officiers et rêvent d' un mariage ( ce que certains
font , oups, par tomber enceinte ) . Gere est Zack Mayo, un débrouillard
qui n'a nulle part où aller , mais en hausse .
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