C'est le genre d'équipe qu'on n'aime pas jouer, qui évolue assez bas, et
qui compte sur la vitesse de ses attaquants en contre. Comme
d'habitude, on va vouloir prendre le match à notre compte, mais il
faudra le faire sans y aller la fleur au fusil.»Pour autant, le
technicien kanak estime que le parcours cahotique de ses joueurs à
domicile fausse le jugement de certains : «Ce que l'on fait aujourd'hui,
c'est très bien, même si les gens ne s'en rendent pas toujours compte.
Si l'on veut que ce soit parfait, il ne nous manque que les victoires à
domicile. Après, ce qui est remarquable dans cette équipe, c'est qu'on
court souvent après le score, mais on ne lâche jamais ! C'est ce que je
retiens : on est des combattants, des guerriers. Même quand on est au
pied du mur, on se relève toujours. C'est la grande force de cette
équipe. Polo Lacoste pas cher
S'imposer ce lundi permettrait au club artésien qui récupère Areola
mais devra encore faire sans Kantari, Chavarria et El-Jadeyaoui de
repousser le quatrième, Niort, à sept longueurs. Et accessoirement de
s'imposer pour la première fois devant son public en L2 depuis le 19
novembre. Soit près de quatre mois. Ce ne serait pas encore parfait,
mais cela rendrait un peu plus concret un retour très attendu à l'étage
supérieur.Battons-nous pour le «made in France» ! Arnaud Montebourg, le
ministre du Redressement productif n’en démord pas et le clame haut et
fort. Et ça tombe plutôt bien, puisque les entreprises elles-mêmes y
voient des opportunités et les saisissent. Dernier exemple en date,
Jersey Créations (sous-traitant de diverses marques) et Ultra Petita,
deux fabricants tarnais de vêtements pour enfants mais aussi de maillots
de rugby, ceux du Castres Olympique, entre autres. Polo Lacoste
Après avoir entendu l’agacement du ministre mardi dernier sur les ondes
au sujet du maillot de l’équipe de France de foot fabriqué par
l’équipementier Nike en Thaïlande, Julie Chazarenc de chez Ultra Petita a
rebondi, «ne s’est pas dégonflée» et a fabriqué en 24 heures puis
envoyé au ministre un maillot 100 % made in France, floqué à son nom.Le
ministre en a profité pour dire sa conviction que «la Fédération
française a les moyens», qu’elle peut «renégocier» son contrat avec Nike
et ainsi «rapatrier une partie de la production chez les entreprises
françaises qui font du très bon travail».L’affaire n’est pas si simple,
car le coût de fabrication serait trois fois plus élevé en France
qu’avec Nike - 21 € contre 5 € chez les Américains connus pour faire
travailler les petites mains à très bas prix Mais Montebourg a l’opinion
des Français avec lui, 78 % d’entre eux jugeant «indispensable» que les
maillots de l’équipe de France de football pour la prochaine Coupe du
monde en juin soient fabriqués dans l’Hexagone.Alors qui sait, le culot
d’une jeune femme passionnée de sports logée dans le Causse tarnais
pourrait peut-être payer. Et ses arguments aussi. Adossées aux locaux du
CO, les entreprises créent les dessins et fabriquent. L’impression
numérique et la broderie et la sublimation (transfert sur le tissu) sont
réalisés dans le Tarn chez Jersey Créations. Polo Lacoste homme pas cher
«On peut sortir 250 maillots par jour» précise leur chef de file
Xavier Affre. Tout pour plaire au ministre et, peut-être, se retrouver
au Brésil.Toutes ces télés, toutes ces radios, tous ces journaux, toute
cette excitation, toutes ces lumières, tous ces «maintenant, j’ai besoin
des deux gazelles», tous ces «tiens-toi prêt pour le direct, t’as du
répondant, ça va très bien se passer», pour Andromeda, Daniil, Djenabou,
Thathsarani, Yon, Xi, Maryam, Naminata, Mihajlo, Oksana et bien
d’autres adolescents… Leur arrivée en France, terre d’accueil, n’a pas
forcément eu lieu sur un tapis volant et le droit d’y rester a souvent
été gagné (ou perdu) au prix d’une lutte harassante. Tout cet «énorme
buzz», aussi, et «la fierté» du ministre de l’Education nationale,
Vincent Peillon, «pour l’école de la République française et sa capacité
d’accueil». En l’occurrence, le collège de la Grange-aux-Belles, dite
«la GAB» ou, parfois même, «la grande méchante GAB», situé en zone
d’éducation prioritaire (ZEP), dans une cité du Xe arrondissement à
Paris, collège archifui par la bourgeoisie intellectuelle de gauche
locale, et par le biais du film, promu en modèle.Tout ce plébiscite
enfin pour la Cour de Babel, de Julie Bertuccelli, un documentaire,
sorti mercredi et dont le financement a été refusé par toutes les
chaînes de télé, y compris Arte - qui a participé à l’aventure au moment
du montage -, et le CNC (Centre national du cinéma), qui ne lui a
accordé l’avance sur recettes qu’après la réalisation ? «C’est encore
mieux d’être soutenu à la fin», s’exclame mi-ironique, mi-sincère, la
productrice des Films du poisson, Yaël Fogiel.La Cour de Babel est donc
une histoire qui finit bien à plus d’un titre.
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